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Culture et loisirs

Belleville, itinéraire de graffeurs

Graffitis, collages, installations éphémères, Belleville est le temple parisien du street art. Les cours et les ruelles du quartier sont autant de lieux d’expression pour les artistes français et internationaux. Promenade aux détours de rues et de cours intérieures à la rencontre d’oeuvres anonymes ou non.

Rue de Belleville. Plongée dans l’antre des graffeurs à Paris. Crédit : Rachel Saadoddine.
Façades, volets, préfabriqué de chantier, l’équipement urbain se transforme en support pour les street artistes du collectif RMK. Rue Rebeval. Crédit : Martin Pinguet.
Fresque sur briques dans une cour intérieure rue Ramponeau. Crédit : Martin Pinguet.
Cimetière. Le mur droit du 19 rue Ramponeau était couvert d’une immense fresque, aujourd’hui cachée par de nouveaux logements. On peut encore voir une petite partie des graffitis dans la cour intérieure. Crédit : Martin Pinguet.
Tag vieilli dans la ruelle attenante à la rue Ramponeau, le visage d’un homme buvant du soda recouvre de précédents graffitis. Crédit : Rachel Saadoddine.
Collage d’un visage de femme sur des murs peints en rose et bombés en doré. Plusieurs affichettes ornent la rue Desnoyez. Crédits : Martin Pinguet.
“Les Yeux”, dessin au posca et peinture par l’artiste brésilienne Luiza G. Garcia, rue de Tourtille. Crédit : Rachel Saadoddine.
Béton fleuri rue Denoyez. Certains artistes optent pour des installations éphémères à l’image de ces fleurs enroulées autour d’un tuyaux de gaz. Crédit : Rachel Saadoddine.
Amour, collage de Heartcraft. L’artiste français sillonne les rues de Belleville et de la capitale pour y coller ses cœurs colorés, ici rue Lesage. Crédit : Rachel Saadoddine.
“Coupe du Monde 2018 – Avec Amour”, dessin au posca réalisé par l’artiste brésilienne Luiza G. Garcia rue de Tourtille. Crédit : Martin Pinguet.

Rachel Saadoddine et Martin Pinguet

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